Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Marc-Henri Arfeux au fil des jours : Publications, Nouveautés, Evénements
1 janvier 2015

FLORILEGE DU NOUVEL AN

A l'occasion du Nouvel An, voici quelques fragments inspirés par les oeuvres de quelques amis intérieurs, certains d'ici, d'autres de cet ailleurs où continue de vivre leur aura. Je souhaite à tous une belle et féconde année 2015 !

 

 

179128_380758505315841_1600698330_n

 Robert Lobet, peintre, graveur, sculpteur, éditeur, peinture, exposition à Nogent le Roi

http://www.robert-lobet.com  https://www.facebook.com/robert.lobet.5?fref=ts

 

Les portes de l'écorce ont ouvert le silence. Et la maison devient ce lent chemin de souffle, salons en enfilade où naissent les nombres et les promesses par le baiser de ton regard qui de très loin s'appuie au mien. Ma soeur dans l'invisible est ce sourire de la distance, tandis que les fenêtres et les fiançailles de la forêt. 

 

 

155950_10151367894219458_933332131_n

Abigail Stern, artiste plasticienne, Book 1: Korean Pillow: (A Book of Diptychs): (pages 25 & 26, alternate view): Mixed media on Hanji book. (9 x 23 3/4 inches)  http://www.abigailstern.com  https://www.facebook.com/abigailstern1

 

Naissance d'une pyramide en un matin de transparence. Le monde est l'enfant bleu de son regard dans les jardins de la fraîcheur. Elle ouvre l'horizon, rosier triangulaire multiplié par les trois purs et les quatre visages, et son sommet devient la grâce pour un oiseau d'envol.

 

 

 

10420435_761770827233120_8132967850010879363_n

 Sophie Mariel, écrivain, photographe, vidéaste, Las Cruzes, Nouveau Mexique

http://www.sophiemariel.fr  https://www.facebook.com/sophie.mariel.5?fref=photo

 

On devine le vent du soir, venu flairer tempes et chevilles pendant la courte halte, tandis que l'horizon soulève son ciel suave et duveteux parlant d'anges et de cygnes aux Léda nomades, grand rideau théâtral aux bleus flous, fuyants sur le lointain du presque crépuscule. Regain de jour sacralisé par son ailleurs avant la nuit, appel ambré qui se révèle au seul regard, dans cette sorte de silence sauvage fouetté par le passage de quelques rares camions, le sifflement des herbes et cet immense baiser face contre face de l'espace grand ouvert.

 

 

 

10891901_576107832519890_8141634046837368823_n

 Joseph Beuys, Sans titre, dessin de miel  https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00595024/document

joseph beuys dessins

 

L'homme est empreinte émue de miel sous la nuée solaire. Lever de fleur dans le brouillard de ce pollen qu'on nomme une aube.

 

 

 

10689609_10205456600841238_9138336442953962176_n

 Jürgen Heckel, photographe et musicien  https://www.behance.net/sogar_heckel

 

Ils vinrent par la blancheur, quatre ambassadeurs montant de la brume sur l'étendue de neige où leurs pas étaient silence, pure apesanteur n'imprimant nulle empreinte, comme seuls les anges dans la limpidité de l'incertain.

 

 

10603375_1556911634523065_1625725854374612499_n

Patrice Giorda, peintre, Santo Spirito, Acrylique sur toile, 150X150cm, 2006

 http://www.giorda.fr  https://www.facebook.com/patrice.giorda?fref=ts

 

Etonnament, Santo Spirito et les édifices voisins semblent des bâtisses abandonnées sur une île de la lagune vénitienne. Tout semble si désert, ouvert au silence d'un horizon sans mesure terrestre qu'on ne s'étonnerait guère de voir passer une barque de pêcheur, glissant entre les herbes marécageuses du premier plan et la rive d'en face, ténébreuse, engloutie dans sa désolation. Monde flottant, dont émane une étrange sérénité menaçante et hypnotique.

 

 

 

10696395_10204425460055243_2261812797503805397_n

 Marc Lagoutte, photographe, https://www.facebook.com/talamone

 

Née d'un collier sans fil qui se disperse, l'aura de l'avant jour est premier monde, jardin de profondeur par l'eau et le brouillard. Le vide n'est pas absence, désolation de l'implacable, ou manque béant, mais profusion d'indéfini montant silencieusement dans la substance d'une aube, et son désert, pressentiment. La voyageuse est aux lisières de tout regard, les lèvres closes, dans le silence ouvert qui la formule et la retient, comme est toute rose fondamentale ; une invisible que son chemin révèle ainsi qu'une goutte à la surface du temps.

 

 

1508559_742738389152082_3371912757524982149_n

Jean-Claude Terrier, peintre, Série : "L'écart, l'entre" - "Evanescence, l'aube" seconde version 195x130 - 2014

http://www.terrier-peinture.com  https://www.facebook.com/JeanClaudeTerrier.Peinture?fref=ts

 

L'aube est bien cette eau blanche qui se précipite entre des forêts de nuit. Elle a nuée, visage et neige, selon son ange. L'absence est le flambeau de la pâleur qui veille en elle un astre humide.

 

 

 

1383541_10152005377069458_1372124350_n

Abigail Stern, Untitled 21, 2013: Gouache and oil stick on slate. (11 3/4 x 11 3/4 inches)

 

Théâtre de la neige, au petit jour. Dans la maison du givre, l'attente est un brouillard en forme de veilleuse, gardienne des vitres étoilées par une fourrure d'absence où la vision se pose, fin papillon fragile né avec l'aube qui frôle d'un songe tout l'immobile du pays clos. La féérie peut commencer, par ce fantôme d'une seule fumée qui vient à ces fenêtres et les traverse d'une pensée toujours unique, égale et sans lisière tant l'infini des arbres blancs liés l'emporte au grand miroir de leur envers.

 

 

 

1

 Robert Lobet dans l'atelier de la Margeride

 

L'oiseau marin du livre est né de mains ocrées, frottées d'azur et de pollen. Il est la plus ancienne jeunesse qui monte à la fontaine où tant de lèvres et de regards ont épousé les roses de leurs chemins tremblants.

 

 

 

10857865_10205302266785711_2464503318389020026_n

 Jean-Pierre Dupuy, Photographe, Ville en angles n° 273

https://www.facebook.com/jeanpierre.dupuy1?fref=ts 

 

Là où la rue se fait grotte, à flancs de nuit et de mémoire pure sans objet, simple matière de la mémoire et ses nodosités, aspérités, grandes plages de muraille lisse ou craquelée, selon les escaliers et les tournants de cette ville de hauteurs et d'abîmes qui n'est plus telle ville en un lieu nommé, mais désormais seulement capitale de l'ombre et de la déambulation où marcher sans fin demeure la seule issue dans le silence. Mais celui-ci n'est pas si total qu'il ne soit habité de murmures, exhalaisons de voix qui se sont tues et continuent toujours de chuchoter, suggérer, mourir d'amour, implorer, psalmodier, réciter ; parfois c'est un bref éclat de rire qui étincelle une seconde comme une allumette frottée dans le noir, et d'autres un chant de femme qui s'élève à demi du rien comme un foulard de soie d'un gris blanc translucide, ondule horizontalement puis s'efface. Un enfant compte et recompte par salves entrecoupées de vides d'interminable et incompréhensibles opérations, un réveil fantôme fait soudain pleuvoir sa grêle d'heure fatidique tout en s'éloignant puis se résorbe d'un coup, comme s'il n'avait jamais sonné. De longs instants de souffle en suspens, errent dans les détours du labyrinthe,, vent de solitude frottant sa tristesse aux murs dont la tombée verticale est si ancienne, si démesurée, massive et farouchement close qu'on se croirait sous les bastions infranchissables de quelque pensionnat glacial où pleurent la poussière et les rayons de lune en des corridors et des salles désertés, tandis que toujours s'incante au coeur du dédale la naissance infinie d'un rosier.

 

 

 

 

16_dou

 

Clément Montolio, peintre, Sans titre, aquarelle sur papier - 65 x 50 cm, 2011

http://www.clementmontolio.fr  https://www.facebook.com/clement.montolio?fref=ts

 

Les eaux seront très hautes,

Et nous allons dormir.

Plus rien ne peut venir

De la forêt masquée.

Les chemins sont fermés

Jusqu’au-delà des plaines,

Comme sont aussi tous les volets

En cette auberge des lointains

Que tu ne connais pas.

 

Nous reviendrons peut-être

Aux vitres étonnées

Si le brouillard du sang

Nous rend au petit jour.

Tu seras brève et cristalline

Ainsi qu’un peuplier

Dont la plus haute image,

Pulvérisée,

Rejoint la transparence

Par le flambeau de l’air.

 

 

 

600124_3357125090917_404557561_n

Patrick Rousseau, peintre https://www.facebook.com/patrick.rousseau.75?fref=ts

 

 

Un hiver pourpre et sa neige d'oriflammes. Le très grand vent de liesse réveille les braises du gel. Jaspes et marbres du haut froid, beau vif aux gestes passionnés d'amante déchirant brusquement ses lettres et ses habits pour se jeter dans la tempête illuminée de son abolition.

 

 

 

10299979_636578333085704_5077228706874032544_n

Sophie Mariel, Autoportrait

 

Dans ma bouche est fantôme tenant aura de nuit. Dans ma bouche est visage ouvrant un papillon. Dans ma bouche est nuage formant colombe et double noir d'un astre nu. Dans ma bouche est silence, rougeur de l'anthracite où le lilas des cendres encercle un lent jardin, fumée de roses offertes au blond chemin troublé d'un jour d'automne.

 

 

 

10325711_10203708463821633_4365825713789898296_n

 

 Jean-Pierre Dupuy, Sans titre

 

Il arrive au silence de suivre un lent couloir

Conduisant à son double,

Fenêtre d'un brouillard où le visage est lampe

Dissimulée,

Aura d'une amoureuse

Dont le regard d'oubli continue de brûler

Dans le lointain arrière-pays

Où veillent encore la clé, le nombre

Et la lumière

De sa disparition.

 

 

 

 

10675571_10204469975848110_4726545081227625302_n

Marc Lagoutte, route et paysage au givre

 

La route sans qu'aucun signe manifeste en porte témoignage venait de pénétrer dans le domaine où, par l'hiver, des floraisons d'avril rencontrent tout à coup un jour d'étain étendu par décembre. Surface et profondeur ne sont alors plus qu'un feuillet d'éblouissement dans l'indécis de l'heure qui porte crépuscule de l'aube jusque à la nuit.

 

 

 

10394048_10204363554987935_1363461066758609822_n

Yann Fravalo-riopelle, Photographe, Forêt, de lui ou d'un autre, je ne sais

https://www.facebook.com/yann.fravaloriopelle?fref=ts

 

Puis elle entra dans le domaine par l'un de ses chemins qui en cherchaient longtemps le seuil, prélude où par la brume chacun de ses emblèmes apparaissait déjà, masqué d'estompe et de silence. Dès le matin venait déjà le crépuscule tôt reparu l'après midi pour graduellement fondre dans le soir à la façon d'une bruine qui n'est que sa vapeur d'avant la nuit. Ainsi les heures, plombées d'indéfini, ne se levant que pour ouvrir la profondeur sur la retombée lente irrésistible des brouillards faisant de ces futaies et ces halliers son oeuvre au noir, lithographie d'insaisissable où s'avancer sur le chemin était en soi un charme accompagnant l'esprit.

 

 

 

10698448_780402875334503_7667108337322385121_n

Patrice Giorda, Le couchant n° 2, Acrylique sur toile, 116X89cm, 2003

 

Un lion de roche vient boire la folie jaune. Le vent du soir renverse l'herbe sur le talus sauvage tandis qu'à contre souffle un grand lilas se précipite.

 

 

 

10703878_712418962184025_7200078769876439021_n

Jean-Claude Terrier, Acrylique sur toile 150x150

 

Lueur outrepassant la ferme porte du silence, devenue cette ardoise où l'invisible écrit sa trace puis l'essuyant, lui donne élan contre l'absence...

 

 

 

1902081_10203969718821997_5140427632115323272_n

Marc Lagoutte, Route forestière

 

Passé le seuil des arbres, la route entrait dans l'inconnu de la beauté par la lumière. Martin fit quelques pas sur le goudron de couleur mauve, comme toujours en ce pays de granit, de sources et de forêts. Ses pas firent craquer de menus graviers. C'était le seul son de tout l'espace en cette heure ouverte jusque au rebord de l'horizon. Il n'y avait personne. Seulement le fin glissement de l'air qui s'épanouissait dans le premier matin. A quelques pas, derrière la vapeur du soleil éclata soudain, comme un fruit mûr, le chant luisant d'un merle noir.

 

 

 

1933167_4154466132559_1521784831_o

 

 Clément Montolio, Sans titre, aquarelle sur papier - 65 x 50 cm, 2011

 

Tes seins, dépossédés,

Touchent à cette heure de lampe

Effacée d’avant jour.

 

Car nous avons été jusqu’à ce froid de vitre nue

Blessée par l’incolore,

Et nos fantômes gisent à nos pieds

Dans un long miel séché,

Tandis que vient le monde en ligne de brouillard.

 

Ce serait jeu perdu si ne veillaient tes seins

Dans le tremblé de la poussière

Où la chambre épuisée rassemble ton visage.

 

 

 

1897859_584473634978559_2010636950_n

 Jean-Claude Terrier, Acrylique sur toile 130x195

 

Ouvrir la nuit dans un lointain de neige où le très sombre coeur devient lilas de l'infini.
Ouvrir le chant aux cordes du silence, par embellie de la lumière.
Le long regard vient aux fenêtres, verger de vitres nues où le matin de la question
Devient la forme d'un sourire.

 

 

 

07

Robert Lobet , Sans titre, 150X100, Technique mixte, 2012

 

La nuit jardin de neige et d'immobile dans la maison du sang.
Absence de ce refuge où tu parlais avec la lune
Par insomnies et larmes sèches.
Le cercle est enfermé dans un carré désert 
Où même l'oubli se heurte aux murs.
La soif est seule avec les noms terribles
Et ce rocher de bleu dans l'obsession des heures.

 

 

 

481429_3908141225976_140923903_n

Patrick Rousseau, Peinture

 

Voilé de neige,
Comme un silence
Devenu son domaine
Est ce regard de l'immobile
Que l'on ne voit,
Mais qu'on pressent
Par l'ambre et le lointain,
Maison d'absence
Où veille une étrangère
Douée de nuit.

 

 

 

10253895_10201843554911834_8436357121029490744_n

Mika Tajima, Peintre plasticienne  mika tajima artist

 

Il serait nuit si ne veillait la souriante 
Allongée sur les eaux,
Vivante indéfinie
Que nul amer n’éteint.

Elle est,
Par ambre de lisière,
Journée de monde
A l’horizon.

Ses yeux légers,
Voilant la profondeur
Dans le raisin de son visage,
Reforment sur l’espace 
Le flambeau d’un sourire.

 

 

 

401476_2539599893298_54524229_n

 Katie Bell, Artiste Plasticienne, Broke, 11X12 In paper, Acrylic, foam and plaster

http://www.katiebellstudio.com

 

Pureté de Katie Bell

Maison de neige, coeur de pollen est ton regard à l'invisible du matin. La lampe est blanche comme le silence de la promesse, visage ému de pure absence aux vitres du brouillard. C'est nuit de neige, avec une aube à la mesure des yeux qui la dévoilent, muette et nue par sa lueur, ainsi qu'un fleuve qui est, fumée de son cheval. Il passe et disparaît. Puis la forêt devient ce vide et tout oiseau, toute pierre et tout chemin. Demeure la chambre de distance où le verger du givre aux parois blanches éblouissantes, ô mon Amour, ma seule, vivant de nuit, de lampe et de fenêtre avec ce verre taché d'une aube.

 

 

 

23e0c0_a7accadb8229fcc576766f53e3323237

Marc-Henri Arfeux, Léman, Acrylique sur toile 

 

Le voyageur du seuil

Revient à sa maison,

Feu grandissant

Selon le chant de solitude,

Ô bleu !

Ton matin d’intervalle

En cette nuit portée si haut,

Dont le rocher vacille

A l’épaulement du flou.

 

Déjà, le voyageur est loin,

N’ayant laissé parmi les pierres

Que l’assiettée de quelques signes,

Ce peu de lait, de cendres et de vent pur.

Et l’Ange de l’entre deux contemple

En sa nuée

Ce qui de nous s’élève,

Le cœur naissant,

A la rencontre silencieuse.

 

Promesse à l’incertain de l’heure,

S’ouvre le vide, uni d’un lieu

Sans paysage.

Cela va grandissant par immobile

Jusque à l’épure,

Sourire d’un lac irrévélé

Avec le souffle clair, l’accord de l’horizon,

Les frêles jardins mouvants de l’œil,

Dans le pressentiment des brumes.

 

Mais pas encore,

Seulement cet instant nu,

Oiseau de l’évasif

Traçant la profondeur,

Le beau qui vive indéfini

Et l’aliment du froid.

Le froid devient la lampe,

Le fleuve où le regard

Seulement devient.

 

La lampe est un granit avec un pin désert

Se souvenant,

D’ultime étoile.

Ne reste

Aux mains trouées que le

Silence, l’inharmonique

Et long silence tissé d’approche et de distance

Par le peut-être d’un matin.

Mais rien que l’on saisisse,

 

Et rien qu’un geste pâle,

Noué

Par sa vapeur.

C’est là tout l’enchantement.

Il porte témoignage

Pour les fiançailles de la couleur.

La fiancée dort.

Elle est,

Inexistante et solitaire.

 

Il faut encore bercer l’empreinte

Qui rêve à son absence

De non rêveuse dormante et non dormie,

Comme un amour dans sa ferveur

De non amour ;

Se rappeler tous les lotus et les iris

De ses seins durs parmi les vagues,

Tandis qu’elle parle et se passionne

Selon le monde.

 

Sur le rivage de tout à l’heure,

Apparaîtront ses bagues, et les colliers,

Comme dés masqués à l’aventure,

Galets veinés d’échos au répandu de l’apparence

Par nombres et  lettres inconnues

Disséminant leurs clés, le beau visage,

Félin fondamental et nu

De l’invisible

 

A fleur de liesse.

 

 

© Marc-Henri Arfeux, all rights reserved

 

23e0c0_2ca22218623e6bd3a31f951c18591835

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
L
Depuis un certain temps déjà , j'ai eu le plaisir à chaque fois de savourer avec délices vos commentaires postés sur sur la page des oeuvres de Jean-Claude Terrier! Je découvre maintenant avec bonheur ce florilège du nouvel An - Bravo - Graziella -
R
Superbe présentation, merci Marc-Henri!
P
Merci beaucoup cher Marc-Henri , je vous souhaite une merveilleuse année 2015 , qu'elle soit riche de poésie et de musique ..........<br /> <br /> Patrick Rousseau
R
Merci Marc-Henri pour votre FLORILEGE DU NOUVEL AN. Il me donne l'occasion d'une magnifique excursion dans les confins de l'art, main dans la main avec dame nature, sa terre, son ciel, son feu, son extraordinaire lac Léman.<br /> <br /> Très belle années 2015 à vous.<br /> <br /> Réjane Niogret
Marc-Henri Arfeux au fil des jours : Publications, Nouveautés, Evénements
Publicité
Archives
Newsletter
Publicité